• J'ai dit des mots d'amour, j'ai dit des mots en l'air,
    Des mots qui chaque jour, deviennent plus amères.
    Je t'ai dit des mots doux, des tendres petits mots,
    Et celà me rend fou, je te l'dis en un mot.

    Tous ces mots à l'oreille, que j'avais à la bouche,
    Et qu'aujourd'hui je raille, de peur qu'ils ne me touchent ;
    J'ai dit dans le désordre, des mots à demi-mot,
    J'ai même eu des mots d'ordre et dit quelques gros mots.

    On dit bien mot à mot, qui ne dit mot consent,
    Et ne plus dire un mot, de tout ce qu'on ressent,
    Aurais-je pu le faire, utiliser cette ruse,
    Et préférer me taire, j'ai pas de mots d'excuse.

    T'avais ton mot à dire, moi j'avais au bas mot,
    Juste le mot pour rire, t'avais le dernier mot.
    Tu peux me prendre au mot, mais tu as eu enfin,
    Le fin mot de mes maux et même le mot d'la fin.

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  • J'aimerais pouvoir t'oublier,
    Que de ma tête ton image meurt,
    Etre atteint comme un fou à lier,
    De la maladie d'Alzheimer.

    J'aimerais pouvoir effacer,
    De mon esprit ton existence,
    Car elle revient, j'en ai assez,
    Comme une vraie réminiscence.

    Et ne plus me remémorer,
    Le souvenir de ton image,
    Que toutes mes pensées ne sauraient,
    Que le fruit d'un vilain mirage.

    Une illusion d'optique si vague,
    Qui profit'rait de ma faiblesse,
    Ma mémoire sans doute divague,
    Mais elle est mère de sagesse.

    Je souhaite vraiment ne plus songer,
    A ta si brève apparition,
    Qui n'en finit pas de m'ronger,
    Qui me punit sans rémission.

    Pour ne plus m'rappeler qu'tu existes,
    Ca peut paraitre une hérésie,
    Mais la seule et unique piste,
    Que j'ai trouvée c'est l'amnésie.

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  • C'est vrai, j'en ai gros sur le coeur,
    Et j'avais à coeur de te dire,
    Que depuis toi, j'ai mal au coeur,
    Que je n'ai plus le coeur à rire.

    Me fendre la gueule est révolu,
    Cela m'arrache la gueule certes,
    Mais ta gueule ne me revient plus,
    Tu peux crever la gueule ouverte.

    Mon coeur tu en as fait une cible,
    Tu m'as fendu, brisé le coeur,
    A coeur vaillant rien d'impossible,
    J'dois te l'avouer tu m'écoeures.

    Te foutre de ma gueule t'es inné,
    Même si tu as une belle gueule,
    J'te l'dit la gueule enfarinée,
    Quand je pense à toi, je dégueule.

    J'en ai gros sur le coeur tu vois,
    Je ne te porte plus dans mon coeur,
    C'est pour ça qu'j'y vais à coeur joie,
    Que je t'offre ma haine de bon coeur.

    Parfois, j'avais la gueule de bois,
    Et j'ai toujours, ma grande gueule,
    J'commettais sans doute pour toi,
    C'qu'on nomme un délit de sale gueule.

    Te dévoiler du fond du coeur,
    Mon côté sans coeur et ma rage,
    Me met c'est vrai du baume au coeur,
    Et me donne du coeur à l'ouvrage.


    Toi qui m'as arraché le coeur
    J'aimerais te foutre sur la gueule,
    J'avais pour toi un coup de coeur,
    Qui s'est transformé en coup d'gueule.

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  • Tu sais lorsque j'écris ma rage, c'est un véritable éxutoire,

    Et même si ce bien triste ouvrage, devient très vite un défouloir.

    Est c'que je peux? Est ce que j'ose? Allez je m'lance, allez j'y vais.

    Tu es vraiment la pire des choses qui ne m'soit jamais arrivé.


    Tu as détruit sur ton passage, le fond de ma sincérité,

    Je pensais t'aimer à tout âge, preuve de ma grande naïveté.

     Mais ce n'est pas qu'un beau récit, tu m'as complètement miné.

    Que l'on puisse en finir ainsi, jamais j'aurais imaginé.


    Je t'en veux pour c'que tu as fait, et c'que tu n'as pas osé faire,

    Ta trahison a cet effet dont je ne saurais me défaire.

    C'est vrai j'ai commis des erreurs, de celles dont on ne se vante.

    Toi tu as semé la terreur, dans mon pauvre esprit que tu hantes.


    L'amour est parsemé d'embûches, de difficultés et de tests,

    Je n'ai été qu'une pauvre cruche, mais grâce à toi je le déteste.

    Pourquoi sommes nous assez fous? Je pense que même un animal,

    N'irait pas dans la gueule du loup, tout en sachant qu'ça fait si mal.


    Bien que restée tout près du sol, notre histoire a battu de l'aile,

    Elle n'a pas pu prendre son envol et je m'y suis brûlé les ailes.

    Sans doute que demain je saurais, m'améliorer pour la suivante,

    Car dès à présent toi tu es devenue juste la précédente.


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  • Si seulement j’avais su, c’est ce que tout le monde dit,
    J’aurais été moins déçu, maintenant je te maudis.
    Si seul’ment on m’avait dit, que d’me mettre ainsi à nu,
    M’aurait autant détruit, j’te jure j’aurais pas v’nu.

    Je te hais de toutes mes forces, fallait que je te le dise,
    Entre nous si ça se corse, normal je te méprise.
    Je te hais de toute mon âme, de tout mon être, de tout mon corps
    Ad vitam aeternam, j’t’exécrerais encore.

    Je te hais à ce point tu t’rends compte mon amour
    Je te hais c’est un point d’non retour, pour toujours.
    Je te hais à tel point, qu’t’éviterrais mon parcours,
    Si tu savais à quel point, je te hais mon amour.

    Je te disais je t’aime, je t’appelais ma mie,
    Je ne te souhaite pas même, au pire de mes ennemis..
    Tu étais prête à fuir, et moi prêt à rester
    Je hais aimer te haïr, mais j’aime te détester.

    Je voulais avec toi, ainsi partager ma haine
    T’offrir encore une fois, toutes mes idées malsaines.
    Haïr, c’est tout c’qu’il m’reste ; j’te hais de t’avoir aimée.
    C’est pour ça qu’je te déteste, haïr, c’est tout c’que j’ai.


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