• Quand on n'a pas ce que l'on aime,
    Il faut aimer ce que l'on a,
    Tout en commençant par soi même,
    Surtout si l'on n'a plus que ça.

    Si certains se vouent de la haine,
    Ils font sans doute le mauvais choix,
    A chaque amour suffit sa peine,
    Aime toi et Dieu t'aidera.

    Pour bien aimer les autres, c'est sûr,
    Il faut s'aimer d'abord soi même,
    Amour bien ordonné ne dure,
    Que s'il commence par soi même.

    Vaut mieux s'aimer seul parfois,
    Plutôt que mal accompagné,
    Mettre ses amours et ses émois,
    Dans un seul et même panier.

    L'amour vient en s'aimant, c'est vrai,
    Ton prochain t'aimera comme toi-même,
    En vérité, on n'est jamais,
    Mieux aimé que par soi même.

    Vaut mieux un p'tit amour de soi,
    Qu'un grand chez les autres, je crois,
    Un aime toi vaut, il va de soit,
    Bien mieux que deux tu m'aimeras.

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  • J'aimerais tant être un cliché,
    Et ce n'est pas rien de le dire,
    J'aimerais tellement m'afficher,
    Aux bras de celle que je désire.

    Etre un peu con en l'attendant,
    Avoir tout le corps qui frissonne,
    Et vibrer juste en entendant,
    La sonnerie de mon téléphone.

    J'aimerais tant être un cliché,
    Et pouvoir lui tenir la porte,
    Dans mes bras pouvoir la nicher,
    Etre apte à lui prêter main-forte.

    J'aim'rais aussi être grossier,
    Lui dire : "putain mais t'es trop sotte!",
    J'aimerais pouvoir négocier,
    Pour faire une sortie entre potes.

    J'aimerais tant être un cliché,
    Rien qu'en pensant à ta silhouette,
    Que tu parviennes à m'aguicher,
    Que la nuit, tu prennes toute la couette.

    J'aimerais te prendre par la main,
    Et avec toi me promener,
    Faire comme on dit, un bout de chemin,
    Préparer ton p'tit déjeuner.

    J'aimerais tant être un cliché,
    Et apprécier que tu me dises,
    Des petits mots doux dénichés,
    De je n'sais quelle pochette surprise.

    J'aimerais tant que tu t'apprêtes,
    Et râler parce qu'on est en retard,
    Etre troublé, je sais c'est bête,
    Juste à la vue de ton regard.

    J'aimerais tant être un cliché,
    Pourtant je sais qu'il n'en est rien,
    J'ai beau essayer de tricher,
    De faire comme si tout allait bien.

    J'aimerais connaître tes douleurs,
    Et avec toi pleurnicher,
    L'homme veut toujours, pour son malheur,
    Ce qu'il n'a pas, comme un cliché.

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  • Je n'voulais pas venir au monde,
    J'ai rien demandé à personne,
    Cette vie je la savais immonde,
    Peu à peu elle m'emprisonne.

    Je n'voulais pas grandir si vite,
    Pour éviter tous les reproches,
    Pour pas que l'on me sollicite,
    Je mettais des pierres dans mes poches.

    Je n'voulais pas de ton amour,
    J'ai encore fait preuve de faiblesse,
    J'suis la circonstance du concours,
    Atténuant cette tristesse.

    Je n'voulais pas d'mon existence,
    Aujourd'hui, je veux qu'elle s'arrête,
    Elle n'a vraiment plus d'importance,
    Au fond de moi, je le regrette.

    Je n'voulais pas devenir ainsi,
    Et détester tout c'qui m'entoure,
    Vivre ma vie en autarcie,
    Mais voilà, j'en ai fait le tour.

    Je n'voulais pas, avais-je le choix ?
    Moi qui n'étais pas très robuste,
    Etre encore là est un exploit,
    Avec moi la vie est injuste.

    Je n'voulais pas finir comme ça,
    Mais je n'ai rien trouvé de mieux,
    Je n'voulais pas, je n'ai plus qu'à,
    Vous faire mes derniers adieux.

    Je n'voulais pas, mais c'est trop tard,
    Aujourd'hui, je n'existe plus,
    Je n'voulais pas, alors je pars,
    J'étais juste là en surplus.

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  • On nous casse les oreilles, le quatorze février,
    Est un jour sans pareil, pour tous les oubliés,
    On nous parle sans cesse, de cette journée d'amour,
    Mais pour ceux qu'elle délaisse, ce n'est qu'un mauvais jour.

    Il nous rappelle à l'ordre, pour nous faire pleurnicher,
    J'ai comme envie de tordre, le cou à ces clichés,
    Je les vois ces amants, déplorables badauds,
    Obéir bêtement, en s'offrant des cadeaux.

    Ils s'échangent des bijoux, où s'entrelassent des coeurs,
    Ils se font des bisous, s'offrent des bouquets de fleurs,
    Réservent le resto, tout doit être génial,
    Y a des fondamentaux, à cette fête commerciale.

    Ils me font de la peine, derrière leur mépris,
    Ce bonheur est obscène, pour nous les incompris,
    Pourquoi vous incliner, misérables pantins,
    A vous passionner, pour la saint Valentin?

    Amour simultané, qui donc l'a décrêté?
    Pour moi, c'est toute l'année, qu'il vous faut le fêter.
    Mais on s'en aperçoit, pauvres retardataires,
    Quand on est déjà soi, simple célibataire.

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  • Il n'y a rien de plus enivrant que de se sentir désiré par celle qu'on aime. La femme a cette capacité à faire comprendre les choses sans même avoir à les dire. J'en ai toujours été un peu envieux. Tout est suggéré dans son regard. Quand il illumine son visage, quand l'étincelle dans ses yeux interpelle et fascine, je sais déjà qu'il m'est inutile de vouloir lutter, qu'elle a déjà gagné la bataille de la séduction. La femme sait la faiblesse de l'homme, elle connait ses propres atouts et la force de ses attraits, elle joue de ses charmes quand elle le souhaite et sait parfaitement mettre en valeur sa féminité. Le sexe faible est incontestablement le plus fort. Quand elle dépose sur moi un regard plein de tendresse, un de ces regards qui me font baisser les yeux, vous savez le genre de regard qui donne l'impression d'être hors norme, je m'y noierais tellement cette sensation est agréable, sentiment étrange et exaltant d'être couver par celle qu'on désire et d'être considéré comme unique et indispensable à ses yeux.

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    Tu es là près de moi, on s'observe, on s'écoute, les senteurs de ton parfum m'enivre, ton sourire m'enjolive, ta voix si mielleuse et sensuelle me convie, tes éclats de rire m'emportent, tout ton être me transporte et me fait palpiter, je succombe lentement, je tente désespérément de résister, j'essaye d'endosser le rôle du mec imperturbable pour paraître plus viril dirons-nous, mais mes pupilles dilatées et ma voix tremblotante trahissent quelque peu l'état de désorganisation intense qui règne en moi. Je choisis alors de mettre un terme à la supplication de tout mon corps et me laisse emporter par la fièvre du désir charnel. Il y a une telle complicité dans les baisers que nous échangeons, mes lèvres te dévorent nos langues se cherchent à tâtons, le plaisir est si excessif qu'on en ferme les yeux. L'engouement, l'audace et la fervente passion qui se dégagent de nous à travers ces baisers sont si intenses, je sens tes mains saisissant ma tête comme pour me guider ou bien comme pour faire durer davantage ce moment si délicieux je te saisi par la taille et remonte vers tes épaules tout en te massant légèrement les omoplates, toi dans un mouvement inverse au mien tu me caresses le crâne et redescend petit à petit du bout des doigts en faisant de tes mains un léger mouvement de va et vient qui te permet à chaque remontée de me griffer délicatement la nuque. La force de notre tendresse est telle qu'on agit instinctivement, on se livre mutuellement à l'autre, tes lèvres pulpeuses n'en finissent pas de me croquer, je les quitte un instant pour parcourir ton long cou et le recouvrir de petits baisers douillets en prenant soin de m'attarder un peu derrière ton oreille que tu m'offres en poussant un léger soupir à travers un large sourire réceptif, le doux frémissement de ton corps me rappelle que je dois cesser de titiller cette zone hautement érogène. Tout en te murmurant des petits mots doux, je ressens la chaleur de ton corps et les palpitations de ton cœur à travers ta poitrine gonflée collée contre mon torse, mes mains ont su se créer un soupirail jusqu'au bas de ton dos en remontant sous ton chemisier et mes doigts profitent alors de la douceur de ta peau. C'est sans doute la chaleur de ton corps qui me donne l'impression d'avoir les mains glacées et aussi la sensation de te donner la chair de poule, tout en massant, de manière circulaire, la courbure parfaite de ton bas de reins, je me réchauffe le bout des doigts. Je respire tes cheveux en te mordillant le lobe de l'oreille, tandis que tes mains ont définitivement investi mon tee-shirt et sculptent longuement mon dos avant de s'éterniser davantage sur mon torse. Je sens une fièvre enivrante montée en moi, nos deux corps s'emballent, tu t'es rapprochée dangereusement de moi, attraction réciproque, on se frotte, on se risque à des caresses plus coquines, on étouffe de bonheur, on suffoque de plaisir. Transportés par l'envie, emportés par une vague d'émotions vertigineuse, on se laisse déshabiller. Ton corps ainsi dévêtu fini de me faire chavirer, montée en puissance progressive du désir, escalade des sens en éveil, tout mon corps est en alerte, il capte le moindre indice, le moindre aveu que tu voudras inconsciemment ou pas lui soumettre, afin d'encenser davantage le paroxysme furtif du moment, cet absolu de l'instant que j'aimerais tant prolonger. Ainsi, je retiens, j'enregistre, je grave en mon moi le plus profond cet intervalle de temps envoûtant où le temps justement semble s'être interrompu. Comme inscrits dans une bulle de bonheur intemporelle, nous nous faisons face, tout en ne faisant plus qu'un, osmose de l'esprit, union des corps, tout nous paraît alors si limpide, si fluide, aucun obstacle ne semble pouvoir nous atteindre. Je ressens les bouffées passionnées, les vapeurs grisées s'échappant de ton corps frémissant, même notre environnement semble avoir compris l'importance que revêt pour nous cette douce rencontre de nos êtres en émoi. La clarté tamisée de la pièce dessine des ombres exquises tout le long de ton corps, tes courbes laiteuses ainsi misent en exergue n'en finissent pas d'embellir le portrait hautement sensuel que tu soumets à mes yeux ébahis. Je succombe, tel un glaçon sous la chaleur torride de ta beauté rougeoyante, je fonds. Les draps qui glissent sur ta peau si claire recouvrent d'une manière presque artistique ta pudeur dissimulée. Finalement, je le confesse, rien n'est plus érotique qu'une femme habillée. Tu me laisses entrevoir derrière l'invitation de ton sourire et le rideau soyeux de tes longs cheveux que tu te plais tant à basculer en arrière, toute la splendeur et toute la force de ta beauté. Il s'émane de toi une véritable féminité mais surtout, paradoxalement à moi, une vraie assurance dans tous tes gestes, certitude convaincante de l'importance de l'attraction que tu peux avoir sur moi. Je suis quelque peu troublé et ne parviens pas vraiment à le dissimuler. C'est trop beau, trop intense, j'ai besoin d'un répit, j'en profite pour parcourir le contour de tes seins et de tes hanches tout en posant sur toi un regard protecteur et extasié et en observant la moindre de tes réactions. Je me rends compte que tu aimes être désirée, tu me laisses te scruter. J'écoute ta respiration et j'essaye de deviner à travers elle si je m'y prends bien. Tes tétons pointant fièrement ont sur moi une sorte de magnétisme, j'y dépose mes lèvres les titille avec la langue et les mordille prudemment tour à tour sans cesser de te caresser le corps tout entier. Je joue machinalement avec la douceur du jardin d'Eden que représente pour moi ton duvet pubien puis glisse lentement ma main dans ton entrecuisse à qui tu accordes l'accès sans résistance particulière. Je boue véritablement lorsque je ressens l'infinie volupté de tes lèvres imbibées. Ce doux contact tiède et humide a sur moi un effet euphorisant, impression de naviguer dans une autre sphère, d'avoir rompu l'espace temps. Naufragé, perdu dans cet océan de luxure, j'improvise une sorte de descente acrobatique vers cette presque-île du désir, en recouvrant tout ton corps de baisers. Je serpente ainsi l'agréable texture de ton épiderme ventral et fait un petit crochet nombrilesque avant de reprendre l'itinéraire paradisiaque que je m'étais fixé. Je sillonne alors avec fierté tes muqueuses que je parcours hardiment et tente d'explorer de ma langue alerte le moindre recoin de ton sexe abandonné. Cette excitation agréable te donne de légères secousses, tu me caresses souplement les cheveux, en ouvrant les yeux je m'aperçois que tu m'offres ainsi un merveilleux point de vue. Ta poitrine galbée est magnifique, tes seins se soulèvent à chacune de tes respirations, ils sont relâchés sur l'extérieur de ton thorax ils sont réellement appétissants, tout en continuant de pratiquer sur ta personne un tendre et délicieux cunnilingus je ne peux résister à les envelopper dans les paumes de mes mains espérant ainsi te procurer davantage de plaisir. Tes soupirs de satisfactions m'encouragent en ce sens. Si tu savais qu'en réalité je prends déjà tellement de plaisir à t'en fournir. Cet instant si délicat, cette offrande suprême, ce partage généreusement impudique qui attise, à travers des jeux érotiques,  nos désirs respectifs, nous procure une telle satisfaction, tu en laisses échapper de langoureux soupirs jusqu'à ce que cette jouissance te paraisse insoutenable. Tu resserres alors, assez brutalement, tes cuisses bouillonnantes tout en remontant les fessiers comme pour conserver en toi le plaisir éphémère ainsi fraîchement obtenu ; tandis que de tes mains, tu tentes de me surélevé à ta hauteur. Je me laisse guider. La chaleur est à son comble, je glisse lentement sur ton corps humide et encore fébrile. Tu es étendue, offerte à ma ferveur, attendant que je vienne rassasier ton appétit sexuel. Mon sexe en érection atteint alors son objectif et par la même abrége ton attente. Tandis que je me laisse transporter par la volupté exquise et tiède  de ton être, tu pousses un râle de plaisir. La pénétration est une sorte de libération pleine de promesses. Ce moment est véritablement divin, tu te cambres à chacun de mes passages, le fait d'être à la source de tout ce bonheur que tu t'octroies me donne l'impression d'être héroïque. Tu en oublies même de m'embrasser et de continuer à me tenir le bas des reins. Le plaisir que je te procure me semble même disproportionné, tu crispes fortement le drap housse et te mords la lèvre inférieure pour éviter de laisser échapper de trop grands cris. Chef d'orchestre de cette chorale profondément passionnelle, j'agis tel un métronome en imposant un rythme à nos ébats. Les exclamations sonores et incontrôlées que tu émets me permettent de mieux juger encore de l'effet que j'ai sur ta personne et de l'intensité de tes émotions. Je sens en moi la fièvre monter et réduit la cadence pour faire durer le plaisir. J'en profite pour t'embrasser délicatement le cou tout en te tenant fermement les poignets. Cela a le mérite de raviver mon désir et de faire repartir notre course effrénée vers ce plaisir charnel. J'aime à t'observer dans ces moments, tu as les yeux clos, l'expression de ton visage est sans pareille, je parviens à deviner à travers elle et à travers tes cris de jouissance le moment où tu tentes d'atteindre l'orgasme. Le rythme s'accélère tu te sens venir tu m'en avertis en me plantant tes ongles dans mes avant bras, l'instant tant convoité est imminent. Cet instant est cruellement torride, je m'exerce à atteindre l'orgasme en même moment que toi, symbiose parfaite de nos deux êtres, cette harmonie charnelle est pleinement atteinte lorsque nous poussons dans un même souffle, un râle de plaisir distinctif sorte de cri du sexe à l'unisson, dernier roulement de tambour venant clore le concert privé que nous venons de produire. C'est dans ce cadre intime et folâtre que je me libère totalement tandis que toi tu te cabres soudainement. Tes pieds enlacent mes mollets, tes bras me serrent contre toi, je ressens comme une sensation de vertige, impression de légèreté. Ton sourire béat me renvoie l'image d'une femme extrêmement comblée, tu transpires l'épanouissement sexuel, tu me retiens comme pour conserver le plus longtemps possible le plaisir obtenu. Tu ne veux pas me déloger de ta personne, mon sexe toujours jaugé en toi, perçoit les secousses profondes du séisme qu'il a su causer, répliques et tremblements révélateurs de la jouissance éprouvée, il en est fier mais ne peut, à mon grand regret, bomber le torse encore bien longtemps. En observant ainsi les effets secondaires que peut engendrer sur ta personne,  notre acte d'amour, je t'envie. La femme peut, en effet, jouir sur un temps vraiment très long tandis que nous pauvres hommes devons nous contenter d'une jouissance immédiate et éphémère. A voir la manière dont tu contrôles ton plaisir, je regrette de ne pas pouvoir être à ta place tu parais réellement le déguster sans en perdre une seule miette. Quand tu ouvres enfin les yeux, je constate avec panique, qu'ils sont gorgés de larmes, avant de réaliser qu'il s'agit de larmes de joie et de comprendre que j'en suis l'initiateur. Je te demande si tout va bien, tu me réponds dans un balbutiement incompréhensif, que c'est effectivement le cas. Je le devine surtout à travers ton large sourire tremblotant et essuie d'un revers de main délicat une goutte venue perlée dans le coin de ton œil. J'ai encore du mal à réaliser que je suis à la source de ton état chancelant et fébrile qui témoigne de la force de l'enchantement divin que tu sembles avoir obtenu. Je suis comblé, comblé par le plaisir incomparable du moment, mais également comblé de te savoir épanouie. Les mots n'ont plus lieux d'être, nous nous comprenons en un silence reposant, l'amour se lit dans nos regards. Notre rythme cardiaque se stabilise petit à petit. Je suis si bien, je t'observe tout en initiant à nouveau des petits mouvements de balancier, qui lentement parviennent à faire renaître en moi une vigueur retrouvée. Dans une suavité passionnelle baignée de douceur, notre désir reprend vie petit à petit. Nos gestes sont encore plus tendres qu'auparavant, on prend notre temps. Tel un dessert de fin de repas, on se déguste en fins connaisseurs, ce pêché de gourmandise est si bon, si tentant, l'appétit vient en mangeant, c'est bel et bien vrai. J'adore ce moment de retrouvailles corporelles de retour aux sources de nos sens à peine séparés. L'attention et l'écoute de l'autre sont encore plus développées dans ces conditions, je veux te faire prendre le dessus, mais tu déclines mon invitation, tes membres sont trop vacillants pour supporter d'accomplir des efforts physique trop intenses. Dans un élan fougueux et endiablé, je te propose d'adopter une nouvelle posture. Nous nous retrouvons l'un contre l'autre, tels deux cuillères assemblées dans le tiroir drapé de ton lit.
    (La suite au prochain épisode).


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